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4th Generation Warfare - 4GW

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4th Generation Warfare

Fourth-Generation Warfare est la transcription de la forme moderne des conflits du 21e siècle, qui, au-delà de l’opposition frontale de puissances militaires, englobe l’espionnage, la politique internationale, la cyberguerre, la manipulation des médias, la guerre commerciale.
A la tête d’une nation, contrôlez et déployez des dizaines de personnages sur la carte du monde pour déstabiliser vos adversaires et asseoir votre suprématie.
Tous les coups sont permis : hacking, sabotage, ingérence politique, attaques militaires, corruption, assassinat, domination énergétique, vols d’informations…
4GW combine jeu de stratégie et jeu de rôle fonctionnant en solo ou multijoueur.

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ATTENTION : pour utiliser une version Steam du jeu, il faut obligatoirement disposer d'un compte valide sur la plateforme Steam. En achetant cette version vous recevrez un code qu'il faudra rentrer dans l'application Steam pour installer le jeu sur votre ordinateur.



Choix du format :

Clé Steam : 4th Generation Warfare (Français)
€ 24.95

Le jeu en version de base

Clé Steam : Commando Unit DLC (français)
€ 5.95

Action et missions des unités commandos :
exfiltration, attaques éclair, sabotages,...

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Clé Steam : Mercenaries DLC (français)
€ 5.95

Embauchez des mercenaires !
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Clé Steam : Trafficker DLC (français)
€ 5.95

Faites des affaires auprès des trafficants
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Clé Steam : Deep Network Analyser DLC (français)
€ 5.95

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Déroulement d’une partie

  • Le joueur, à la tête d’une nation du monde actuel, contrôle une équipe de personnages. Chaque personnage dispose d’actions spécifiques suivant son métier ou sa fonction (exemples : négociation de contrat pour un diplomate, sabotage pour un espion, piratage informatique d’un hacker, enquête pour un inspecteur…). Il peut aussi opter pour le déplacement d’unités militaires ou pour des actions dites « d’influence » (exemples : inviter au restaurant, proposer un pot de vin, menacer de chantage…) réalisables auprès de personnages tiers permettant par la suite de leur ordonner des actions de trahisons. Plus de 100 actions différentes au total sont disponibles. Le profil psychologique, l’expérience et les compétences des personnages, la possession d’armes ou d’objets particuliers interviennent dans leur calcul de réussite.
    Simultanément, les adversaires, que sont les autres nations contrôlées par des joueurs humains ou par des IA, effectuent également leurs actions
    Le jeu fonctionne au tour par tour ou en temps réel. En mode tour par tour, chaque joueur dispose d’un nombre limité d’actions par tour, qu’il peut répartir entre tous ses personnages. En mode temps réel, les joueurs ne sont limités que par la durée d’exécution des actions qui occupent les personnages.
    Tout au long de la partie, un site web de news et les smartphones des personnages informent le joueur du retour de ses actions et des événements du jeu.
    Le score chaque pays est basé sur 5 critères (diplomatie mondiale, conquête militaire, résultats économiques, popularité, niveau d’XP des personnages), et permet d’établir un classement.
    Si un chef d’État perd le pouvoir ou décède, son joueur le contrôlant est éliminé.
    Le dernier pays restant ou le premier du classement après le dernier tour de jeu remporte la partie. Des objectifs secrets optionnels peuvent aussi faire basculer la victoire.

Un 21e siècle réaliste

  • Le jeu se déroule sur la carte du monde actuelle, affichable en 2D et en 3D. Elle est reproduite avec toutes les frontières des états, les villes et lieux stratégiques importants (bases militaires, centrales énergétiques, usines…). Le joueur peut accéder aux cartes des villes avec leurs différents bâtiments (palais du chef de l’État, quartiers généraux de l’armée, des services secrets ou de la police, restaurants, ambassades, logements des personnages, planques secrètes…) et y faire agir ses personnages. Certains bâtiments disposent d’un serveur informatique pour leur fonctionnement et contenant des bases de données sensibles ; ils peuvent faire l’objet de cyberattaques visant à les bloquer ou à voler ces données.
  • Les cartes des principales capitales sont conformes à la réalité.
  • Il existe différents modes d’affichage de carte : diplomatique, militaire, électoral, etc ; ainsi qu’une minimap.
  • La mappemonde évolue en fonction des constructions des joueurs, des destructions liées aux guerres ou sabotages, des stratégies des unités militaires et des conquêtes territoriales. Tous les événements importants sont également indiqués sur les lieux concernés (manifestations, attentats, crimes…)

De multiples personnages aux compétences et à la psychologie très variées

  • Il existe plus de 30 classes de personnages. On distingue les personnages contrôlés par le joueur (espions, hackers, inspecteurs de police, ministres, chef des armées, diplomates,…) de personnages tiers uniquement influençables (conjoints/conjointes, journalistes, chef de gang, indics, dignitaires religieux, artistes, psychanalystes, opposants politiques...).
  • Chaque personnage a un profil psychologique particulier, facilitant ou compliquant la réussite des actions. Une quinzaine de profils sont répertoriés : sociable, loyal, charismatique, paranoïaque, introverti… En outre, des variables de stress et de peur, calculées en fonction des événements (menace, corruption…), peuvent influer sur leur comportement autonome (démission, trahison, coup d’état…).
  • Les personnages disposent d’un smartphone, grâce auquel ils peuvent gérer leurs contacts, dialoguer, négocier, planifier des rendez-vous, stocker leurs fichiers (données volées, photos ou vidéos de preuves...). Ces téléphones peuvent être géolocalisés, piratés et leur contenu pillé.
  • Une trentaine d’objets spéciaux peuvent être découverts ou fabriqués et apporter des bonus ou d’autres capacités aux personnages comme par exemple : gilet pare-balles, faux papier, caméra insecte, explosif, exosquelette…
  • On distingue les actions génériques communes à tous les personnages (se déplacer, aller au restaurant, prendre/poser/donner/voler un objet, séduire, menacer, se marier/divorcer, dialoguer, corrompre…) des actions spécifiques à leur profession.
  • Exemples d’actions spécifiques par type de personnage :
    - chef d’État : nommer son cabinet, fixer les orientations budgétaires, dénoncer à l’ONU, autoriser l’arme nucléaire, faire campagne aux élections, lancer des constructions d’infrastructures…
    - ministre des affaires étrangères et diplomates : réaliser des contrats commerciaux, signer des pactes stratégiques, voter à l’ONU, ouvrir des ambassades…
    - chef des services secrets et espions : infiltrer, saboter, assassiner, espionner, kidnapper...
    - cyber-analystes : pirater un serveur ou un smartphone, géolocaliser, implanter des virus, renforcer la protection informatique, tracer l’origine d’une attaque…
    - chef d’armée : réaliser des contrats d’armement, construire des bases, gérer les effectifs, décréter la loi martiale…
    - ministre de l’intérieur et inspecteurs : utiliser la vidéo-surveillance, enquêter sur des délits et des crimes, procéder à une arrestation, interroger un suspect, mener des filatures, surveiller un bâtiment, intervenir sur une manifestation…
  • Les personnages tiers non contrôlables disposent également de nombreuses actions spécifiques : rédaction d’articles pour les journalistes, lancement de grève pour des syndicats, prêche influent de dignitaires religieux, spectacles pour des artistes, assassinat par un tueur à gage, consignes de vote d’un responsable politique…


  • Des peuples réactifs et néanmoins sous influence

  • Le niveau de contentement du peuple est calculé en permanence. Il peut varier en fonction de la politique de l’État (dépenses sociales, niveau d’imposition), du taux de chômage, de son pouvoir d’achat qui évolue notamment en fonction des coûts des produits, des pénuries éventuelles, du climat anxiogène du pays, de la corruption des dirigeants. Le peuple en colère peut créer des manifestations ou des émeutes, lancer des grèves et en fin de compte faire perdre le joueur.
  • Les peuples peuvent être influencés via des informations manipulées dans les médias, ou par des grands leaders naturels comme les chefs de syndicat ou de parti, par des dignitaires religieux, et qui eux-mêmes peuvent être au service de puissances étrangères.


  • Une multitude de stratégies

  • Les multiplicités de plans d’actions, limités par tour de jeu et qui doivent donc être mûrement réfléchis, combinés aux différents modes de calcul du score offrent une multitude de stratégies aux joueurs.
  • Les différents niveaux de jeu sous-jacents comme le wargame disposant d’une cinquantaine de types d’unités militaires différentes, les guerres commerciales via les contrats économiques, la gestion du budget de l’état pour jouer sur sa popularité et ses capacités d’investissement, la gestion des ressources, le rôle de l’ONU qui peut sanctionner un état ou autoriser des interventions militaires, ajoutent encore plus de possibilités et de suspense aux parties qui peuvent basculer à tout moment.


  • Nombreux modes et options de jeu

  • Divers paramétrages sont proposés permettant de varier le plaisir de jeu :
    - mode « Carrière » : mode de jeu privilégié pour les débutants, la partie démarre avec comme seul personnage contrôlé le chef de l’État. Il lui faudra alors choisir ses proches collaborateurs et étoffer son équipe petit à petit.
    - mode « Gouvernement »: le joueur peut sélectionner dès le départ d’une douzaine de personnages, permettant d’agir dans tous les domaines.
    - mode « Sandbox » : mode libre et exploratoire, il permet de personnaliser son équipe de personnages de départ et de jouer de façon illimitée. Ainsi, si le chef d’état meurt, le joueur pourra incarner son successeur
    - option « temps réel » : dans ce mode, le temps défile en continu. Un personnage, ou unité militaire est mobilisé durant le temps de réalisation d’une action avant de pouvoir en enchaîner une autre. Le joueur dispose des boutons “Pause” et “Avance rapide” afin de contrôler la vitesse du jeu à tout moment.
    - option « tour par tour » : dans ce mode, chaque tour de jeu correspond à une journée durant laquelle chaque personnage ou unité militaire peut faire une seule action de son choix. En fin de tour, les adversaires IA réalisent leurs actions.
    - option « Multi-pays » : un joueur peut jouer plusieurs pays et développer des tactiques différentes. Notamment plusieurs petits pays peuvent affronter un plus gros sur un pied d’égalité.
    - option « Personnages supplémentaires » : le joueur peut sélectionner un certain nombre de personnages supplémentaires et orienter sa stratégie avant même le début de la partie. Par exemple, il pourra jouer des journalistes ou des opposants politiques dans un pays étranger qui pourront l’aider à déstabiliser le pouvoir en place.
    - mode Multijoueur compétitif et coopératif : les joueurs peuvent constituer des équipes et s’affronter ou affronter l’IA. Une équipe peut être composée de joueurs qui contrôlent chacun un pays différent, ou qui se partagent le contrôle des personnages d’une même nation.
    - option «Objectif secrets » : chaque joueur (humain ou IA) peut tirer un objectif secret qui, s’il est atteint, peut lui permettre de gagner un bonus de score, voire gagner immédiatement la partie, par exemples : contrôler plus de 50% du marché des hydrocarbures, tripler sa population, changer le régime politique d’un pays ennemi.
    - paramétrages de partie permettant d’affiner sa dynamique de jeu : nombre de tours, durée de tour, nombre d’actions par tour.
    - High-score en ligne : pour chaque type de partie et de niveau de jeu, un joueur peut enregistrer son score en ligne permettant de connaître son rang dans le classement mondial.
  • Textes et dialogues 100% en français

Configuration minimum recommandée

Windows 10 / 8 / 7 ● 2 GHz Processeur ● 4 Go RAM ● 6 Go Espace Disque